Patrick Moussignac, Assad Volcy, Reginald Boulos, et d’autres personnalités sont nombreuses à être accusées par des gangs armés en Haïti. Alors que la liste des personnalités de l’ONU, bien que non exhaustive, est attendue ce mois-ci, certaines questions suscitent l’attention.
Si la commission technique des Nations Unies tient compte des déclarations du caïd Ti Lapli, qui avait précédemment mis en cause Michel Joseph Martelly, qu’en est-il des autres noms fréquemment associés à des groupes armés ?
Les propos de criminels et de hors-la-loi ne peuvent en aucun cas être considérés comme des informations vérifiées, mais si tel était le cas, l’ONU devrait faire preuve d’impartialité dans son application.
Certaines personnes prétendent que l’homme d’affaires respecté du milieu médiatique, Patrick Moussignac, est le chef de la bande de Pilate. Est-ce vrai, ou s’agit-il des paroles d’un concurrent ? La justice devra en décider.
L’ancien sénateur Jean Renel Senatus, connu pour son engagement dans la préservation des mœurs et de la culture familiale en Haïti, a été accusé par un caïd d’être son ami et bras politique. Est-ce fondé ?
Il en va de même pour Assad Volcy, Youri Latortue, Reginald Boulos et d’autres, dénoncés par Jimmy Cherisier. Comment l’ONU procède-t-elle pour évaluer ces allégations ?
Les experts croient-ils aux déclarations de Ti Lapli concernant Martelly et Odmar concernant Prophane, mais pas aux autres ?
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