La journée du jeudi 29 février 2024 restera gravée dans la mémoire des Haïtiens comme une journée de terreur et d’incertitude. Port-au-Prince et ses zones avoisinantes ont été le théâtre d’une série d’événements violents qui ont semé la panique parmi la population.
La question qui brûle toutes les lèvres est : quelles sont les causes de cette situation de panique qui a éclaté dans la capitale haïtienne ? Est-ce le fruit du hasard ou le résultat d’un plan macabre soigneusement orchestré ?
L’insécurité chronique qui sévit dans le pays est au cœur des préoccupations. Les rues de Port-au-Prince sont devenues des champs de bataille où des individus armés dictent leur loi. Mais, est-ce simplement le fruit du chaos ou est-ce le plan délibéré du gouvernement pour justifier le déploiement des forces étrangères ?
Il est difficile de ne pas se poser cette question alors que le Premier ministre de facto, Ariel Henry, se trouve actuellement au Kenya pour la signature d’un accord. Est-ce une coïncidence que cette vague de violence éclate pendant son absence ? Ou bien est-ce un stratagème pour créer le chaos et justifier une intervention extérieure ?
Les dégâts enregistrés ce jour-là sont alarmants. Des individus armés ont pris d’assaut les locaux de la Faculté d’agronomie de l’UEH à Damien, blessant un étudiant par balle selon nos sources. Des barricades ont été érigées dans plusieurs endroits de la capitale, tandis que des tirs retentissaient et que des individus armés étaient signalés dans divers quartiers. Même l’aéroport Toussaint Louverture n’a pas été épargné, avec un avion en direction de Cuba pris pour cible par des projectiles.
La population est sous le choc et la pression monte. Les écoliers rentrent précipitamment chez eux, les activités sont suspendues, et l’angoisse règne dans les rues de Port-au-Prince.
Il est temps de regarder la réalité en face : tous ces dégâts ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un plan macabre conçu par Ariel Henry et ses acolytes pour maintenir leur emprise sur le pouvoir jusqu’en 2026.
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