Un récent rapport du Washington Times dévoile qu’une demande dans le cadre du programme de « libération conditionnelle » de Joe Biden a été soumise en utilisant le numéro de passeport de l’ancienne Première dame Michelle Obama. Ce programme, destiné à accueillir des migrants de Cuba, d’Haïti, du Nicaragua et du Venezuela, fait aujourd’hui face à une vague de fraudes.
Des membres de gangs et des escrocs exploitent le manque de ressources humaines dans l’administration pour soumettre des demandes frauduleuses, souvent en utilisant les identités de personnes décédées. L’audit interne dirigé par Michael Mayhew met en évidence les failles du système, facilitant l’usurpation d’identité et la soumission de demandes en double.
Selon ce rapport de 23 pages, les faibles barrières à l’entrée pour les parrains rendent le programme vulnérable à la fraude et à l’exploitation. Les responsables gouvernementaux soulignent que, bien que le programme ait de bonnes intentions, il est devenu une cible privilégiée pour les criminels cherchant à voler des identités américaines et à tromper les migrants.
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